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Économies “souterraines”, “informelles”, “illicites”, “criminelles”, “non-déclarées”, “populaires”, “de subsistance”. Si parfois ces termes se recouvrent partiellement, ils ne sont pas pour autant équivalents et désignent des pratiques et des postures spécifiques.

Ensuite, se posent des enjeux de connaissance. Pourquoi et surtout comment observer et comprendre ces pratiques économiques ?

Enfin, des enjeux d’accompagnement : par-delà les mesures de dissuasion (contrôles, répression) et d’incitation (fiscalité, subventions), comment envisager des mesures susceptibles de s’inscrire dans une logique de valorisation des savoirs et savoir-faire ouvriers, commerçants et domestiques locaux?

Pour répondre à ces questions, le Club Dévéco du réseau national des centres de ressources politique de la ville (RNCRPV), en partenariat avec le RTES et l’ANCT, vous invite à mieux appréhender ces notions pour engager un premier travail d’observation des pratiques et d’accompagnement si nécessaire.

Animation David MATEOS ESCOBAR – Cités Ressources et Frédéric FRENARD – RésO Villes

 

A lire :
Économies de subsistance : quels leviers pour l'action publique ? L'Éco des quartiers, 2023

 

 

Au travers de cette nouvelle publication le Réseau National des Centres Ressources Politique de la Ville a souhaité explorer les économies de subsistance, afin d’apporter des clés de compréhension et soutenir les actions locales.

Cette publication rend compte de six expériences locales : 

  1. La mécanique de rue dans trois quartiers prioritaires d'île de France
  2. Mécanique de rue au quartier Château à Rezé
  3. Les économies populaires de subsistance dans le quartier de la Mosson à Montpellier dans l’Hérault
  4. La mécanique de rue : l’expérience séquanodionysienne
  5. Cuisine communautaire collective : l’expérience de l’association Taf & Maffé
  6. Des espaces marchands encadrés pour les biffins

Cliquez ici pour accéder la publication

 

Labo Cités 4 rue de Narvik 69008 LYON. Tél. : 04 78 77 01 43
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